Margot Phaneuf, Inf., PhD.
Mai 2013
«Le manque de soins fait plus souffrir que le manque de science.»
Cette phrase de Benjamin Franklin pour être vraie dans certaines circonstances ne peut être prise au pied de la lettre à notre époque de haute scientificité, mais elle montre cependant combien les soins ont toujours été précieux. Hier comme aujourd’hui, l’attention aux souffrances des autres correspondait à un besoin humain essentiel que l’on ne pouvait négliger ou faire passer au second plan. Aussi, cette préoccupation pour la communication avec le malade et le soutien à lui apporter est-elle présente depuis longtemps dans nos milieux de soins.
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